Guylaine Massoutre
Collaborateur∙rice∙s
Article(s) web
L’histoire des corps meurtris

Au commencement était la vie, à la fin aussi

Écroulements mystiques

La fièvre sicilienne de Pina

Lueurs dans l’obscurité

Désir polymorphe : une fantaisie dansée

L’entre-deux monde de la danse

De la terre des ancêtres

Puissantes femmes de scène

Édouard Lock chorégraphe : un écrivain singulier

Du cinéma pour la danse

Tuer l’enfant. Catharsis.

Jubilation africaine

Dans l’hyperréalité du numérique

Lézarder les murs

Comme un écho lointain de l’histoire

L’orange sanguine de Chants libres

Dans le château intérieur

Résonances d’Édouard Lock

La Goddam Voie lactée : qui sème le vent récolte la tempête

Mémoires arides d’une civilisation troublée

Une question de risques

Discordances

Ensemble parmi les ombres

Cet arbre qui domine

Venus de la nuit

Exercices d’un grand style

Devenir femme, oui, mais le demeurer

De la danse identitaire

Danser, une gratification et une nécessité

Les tableaux vivants de Catherine Gaudet

Un festival de théâtre et de danse ne se changera pas en une plateforme désincarnée

Des mondes d’images à faire rêver

Scanner la vie avec Paul Auster

Dans les voies féminines du corps

Un air de Pina avec Raimund Hoghe

Tout ce qui va revient : La texture brute des corps

Pour un théâtre de la catharsis

Oser Cohen

Nature et métaphysique japonaises

Fortune de mer : libre à tout prix

Créer comme au temps des premiers pas

Un voyage au bout de la nuit
15 X LA NUIT, concept : Paul-André Fortier et Diane Boucher ; chorégraphe : Paul-André Fortier ; interprète : Wang Naishi ; assistante : Ginelle Chagnon. Présenté par l’Agora de la danse à la Place des Festivals du 22 avril au 6 mai. /// Tout doit finir par y passer dans la rue. Y a qu’elle qui compte. Rien à dire. Elle nous attend, la rue, pas un, pas deux, pas trois, mais tous. – Louis-Ferdinand Céline Quand il écrivit cette phrase, Céline était déjà fou de danse. Chaque fois qu’il évoque les « fariboles chorégraphiques et déhanchements musicaux et violentes tambourinades » dans son roman…
La réalité n’est pas virtuelle
Out of Season, chorégraphie et interprétation : Ame Henderson et Matija Ferlin ; musique : Victoria Cheong ; lumière : Paul Chambers ; scénographie : Mauricio Ferlin. Présenté à l’Usine C du 25 au 27 avril. /// Une dalle de béton ; un rideau noir ; un mur cru ; deux tables de mixage sonore et lumineux ; quelques bancs et coussins rudimentaires ; deux danseurs, en tenue sportive, yeux maquillés comme des mimes, visages impassibles, font les gestes de se téléphoner. Tels ils vont dérouler, en parallèle et sans presque se regarder, l’enchaînement de leur gestuelle, faite d’une ribambelle chantante de gestes quotidiens. Quel bonheur de se retrouver en plein minimalisme, dans cet…
Des clous, des talons, des marteaux

Question de regards

Ode à la puissance féminine

Comme un rideau de fumée, la langue

Trois cordes tendues à un arc

Informulable, de l’art plastique

Panique chorégraphique

Denault, dryade

Métaphores d’une histoire vivante
