Après un doctorat consacré aux films du cinéaste japonais Ozu Yasujirō, Suzanne Beth se consacre à des projets développés en lisière des terres académiques. Avec le Japon en tête et le souci de la durée, elle s’intéresse aux pratiques d’entretien du monde matériel comme immatériel, qui enrayent sa dévastation.
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