Qu’en est-il du récit contemporain qui, bien que problématique, s’insinue partout, décloisonnant les genres, s’associant aux arts visuels, à l’autobiographie, au cinéma, à la critique, à la poésie, à la psychanalyse, au roman, au théâtre...? Comment expliquer cette présence foisonnante? Est-il tourné vers l’origine, ou tiré par une possible fin, ou cherche-t-il, dans la peur, un passage?