Écrivain majeur, Jacques Ferron, décédé en 1985, jouit toujours d’un rare privilège, celui d’occuper, et sans interruption, une place de choix dans la chaîne intergénérationnelle de la critique. Jusqu’à tout récemment cependant, l’intérêt qu’on lui portait ne dépassait guère les murs de l’Université, l’auteur étant très peu lu par le grand public.